Nom : Satsubatsu
Prénom : Hikomi
Age : 786 annees terrestres
Taille : 1,50m
Poids : 45kg environ
Arme : Le Zanpakuto d’Hikomi na rien de vraiment étonnant. Il est plutôt court, a peine recourber. Elle le porte dans son dos, tenant sous sa ceinture. Il ne faut pas ce fier à son apparence cependant car la jeune femme qui utilise ce tantō le fait de manière très précise et efficace.
Apparence physique : De première vu, Hikomi semble fragile. Elle possède une silhouette frêle et menue mais son corps possède une très grande agilité. Chacun des muscles de son corps possède une grande nervosité. La jeune femme possède une force physique surprenante pour sous apparence, mais son agilité est d’autant plus prodigieux. Elle ne possède aucune marque, aucune cicatrice, aucune blessure n’est visible. A sa grande forme physique s’ajoute une grande capacité à guérir très vite.
Possédant de longs cheveux noirs et des yeux marron, elle n’a rien qui sort vraiment de l’ordinaire à première vue. Mais beaucoup d’homme tourne la tête en la voyant. Chose qu’Hikomi porte que très peu d’attention.
Style vestimentaire : Elle porte plus souvent qu’autre chose l’uniforme imposer, quoi que le sien a été légèrement modifier pour lui permettre d’utiliser a pleine capacité les mouvements de son corps en combat. Son style nécessite d’être en pleine possession de ses mouvements, chose qu’un habillement trop ample ou trop serrer ne permet pas. Lorsque l’uniforme n’est pas obligatoire, Hikomi s’habille de sorte a mettre ses jambe ainsi que son corps en valeur, elle aime être belle et se sentir désirer, bien que tout les hommes ayant essayer de l’approcher sont soit mort ou reparti bredouille.
Caractère : De nature calme et poser, Hikomi réfléchi avant d’agir. Elle ne fait jamais de mouvement brusque, tous ses gestes semblent calculer et diriger avec une souplesse extrême, comme une danse. Elle ne parle pas pour rien dire, preferant garder le silence et observer. Il est dur de s’avoir ce qu’elle pense, préférant garder pour elle ses penser, elle n’en divulgueras pas d’avantage que le nécessaire. Seul Gaiden réussit à la faire parler et cela l’agace profondément, quoi qu’elle apprécie leurs discutions. Il es plutôt rare qu’elle se fâche, mais lorsqu’elle sent la colère monter en elle, la jeune femme réussit que rarement a la contrôler.
Mode de Vie : Ayant connu la pauvreté plus que son dut, Hikomi se contente que de très peu. Trop de luxe la met mal à l’aise. Ses locaux personnels se compose que d’un lit plutôt simple et d’objet ayant des utiliser très précise. Elle ne garde rien de superflu ou de non nécessaire. Cependant, elle garderas jalousement les objets qui lui sont cher, même si ceux si ne servent a rien.
Alignement : Elle suit le chemin qui lui semble juste, ce qui adere le mieux a ses croyances. Elle a une confiance gigantesque envers la cause de l’Allianza. Elle considère les raisons de combattre du Rukongai comme ridicule et pitoyable.
Biographie : [HUMAIN] Le 19 Octobre 1385 resteras graver dans ma mémoire. C’est la journée de ma venue en ce monde… et la journée de la mort de ma sœur.
Kio avait a peine 10 ans, j’était son aînée de 9 ans. Je l’aimais comme jamais je n’aurais pu aimer. Elle était le rayon de soleil de ma vie de misère. Nous vivions pauvrement, aidant les paysans avec leurs récoltent, ne demandant pas d’être payer mais simplement d’être nourrit. Pauvre existence, mais elle était ma joie. Ses rires qui emplissait l’air tellement souvent. Je me demande toujours comment elle pouvait rire autant, même lorsqu’elle entendait les bruits de la guerre au loin. Mais elle souriait comme le soleil brille. Je l’aimais tellement.
Cette journée la, les bruits des combats étaient proche, mais au village, personne s’en souciais vraiment, l’armée anglaise ne viendrais jamais jusqu’ici, n’ayant rien a piller ou a saccager. La journée fut longue, mais Kio souriait toujours, insouciante comme la lune. Je souriais à mon tour, la trouvant belle, la trouvant merveilleuse.
La nuit arrivait rapidement, n’ayant nul endroit ou dormir, nous nous retrouvions dans cette ruelle délabrer, de vieilles couverture fait jadis par notre défunte mère nous servait de lit miteux. J’avais laissé ma portion de pain sec et d’eau à ma jeune sœur, ne voulant qu’elle ne manque de rien. Ce fut donc l’estomac vide que je m’endormis avec difficulté, mais il finirait par se taire, il le faisait toujours.
Ce fut les cris de Kio qui me réveilla cette nuit la et non pas son petit corps qui réclamais de la chaleur. Des cri et des pleures d’épouvante, c’est avec une angoisse maternelle que mes yeux s’ouvrirent sur une scène d’horreur que je n’aurais jamais du voir. Des soldats anglais tenaient mon petit soleil par la gorge, la levant de terre. Sous cette horreur, je me leva et frappa avec violence un des soldats, criant le nom de ma sœur, criant des injures que jamais ma voix n’avait prononcé.
Ma frêle silhouette de mendiante ne pu supporter l’assaut de deux autres soldats que je n’avais vu. Ils me prirent de dos en me forçant a m’agenouiller, fracassant mes genoux sur la pierre. Une douleur immense immergea mon corps, mais la douleur fut encore pire lorsqu’un des soldats me tint par la gorge et me força a regarda Kio. Cette gamine d’a peine 10 ans, mon rayon de soleil, ma joie et mon bonheur, cet enfant qui était plus cher que ma propre vie, cette gamine que je protégeait et chérissait… les mots me manques pour expliquer l’horreur de la scène. Des larmes prennent a nouveau ma gorge d’assaut juste en y repensant, bien que cela date de plus de 500 ans.
Des soldats anglais la maltraitais, utilisant chaque parcelle de son jeune corps pour assouvir quelque pulsions les plus horrible les unes que les autres.
Je ne pouvais que crier le nom de Kio, impuissante devant les actes de ses hommes.
Plusieurs minutes passèrent, les soldats se relayais sur le corps meurtrie de cette enfant, me forçant toujours a regarder leurs actes barbare, m’obligeant a regarder leurs sauvagerie.
Mais je n’avait rien vu encore, a cet instant, je ne pouvait imaginer pire.
Lorsque le visage de ma sœur, méconnaissable maintenant mis a part par ses yeux fut a quelque centimètre du mien et qu’elle prononça mon nom d’une voix faible, et que soudain se bruit étrange se fit entendre…
Ce bruit.. Cette sensation d’humidité sur mon corps… Son visage d’ange s’éteigna, son corps en lambeau tomba sur le sol, une marre de sang sortant de sa gorge, se fut trop, j’hurla a plein poumon, puis une douleur a la tête me submergea. Je tombais vers l’avant, enlaçant le corps de cette enfant que je chérissais avant de ne plus rien voir.
[DEMI-HOLLOW/HOLLOW]A mon réveil, je vis mon corps et celui de Kio. Des soldats anglais s’amusaient encore, mais sur moi. Quelle drôle de sensation que de se voir ainsi. Je ne comprenais pas. Qu’avait-il a comprendre mis a par que cinq hommes avait violer, battue et tuer ma sœur sous mes yeux et que maintenant il remettaient sa sur mon propre corps sans vie.
Une colère monta en moi à un tel point que je ne fus pas capable de la contrôler. Lorsque, d’une manière que je ne peux toujours pas expliquer encore aujourd’hui, je commença a massacrer ses hommes, arrachant toute partie qui me tombait sous la mains, lorsque je vit leurs yeux effrayer, quand je senti se sentiment de puissance en moi…. Je me sentais revivre.
Les cinq soldats anglais virent la mort d’une manière horrible, une marre de sang jonchais les murs et les pierres de cette ruelle macabre. Je ne pu m’arrêter que lorsque le derniers corps tomba sur le sol, inerte depuis un bon moment. Mes genou se pliai tout seul et sans vraiment s’avoir pourquoi, j’était a nouveau sur le sol, les mains dans des particules d’os et de sang, de cartilage et d’autre matière que je ne pourrait décrire.
Même avec les cris que je lançais, ma sœur n’ouvrit jamais les yeux. Son petit corps était sur se sol froid, les yeux ouvert.
A cet instant, je me jura de la retrouver, quoi qu’il adviendrais. Si j’était revenue a la vie d’une quelconque manière, Kio l’avait sûrement fait aussi.
Je ne connu pas cette période de Demi-Hollow, mon esprit désirait vengeance, chose qu’il avait accompli a la minute que je fut rejeter de mon enveloppe humaine.
[HOLLOW]Je ne faisais que de brève apparition dans le monde des humains, ne tuant que des hommes qui, selon moi, méritaient de mourir atrocement. Lorsque j’allais dans mon ancien monde, c’était toujours un carnage, un bain de sang. Mais je me lassa au fils du temps, ses créatures ne me satisfaisait plus. Les noms qu’on me donnait était toujours en explication de mes sauvageries et de mon statut de femme vengeresse, mais je gardais toujours mon prénom, Hikomi, en souvenir de ma sœur cadette. Je passai plusieurs années à attendre que quelque chose se passe. Puis la rumeur de puissantes âmes, des âmes ayant un goût différant, une puissance différente. Je n’avais plus envie de simplement tuer et simplement engloutir ce dont j’avais besoin, je désirais autre chose. Ces âmes étaient donc mon salut pour retrouver l’envie d’être ce que j’étais devenue. Je ne put cependant y goûter, n’y même sentir cette puissante odeur qui semblait rendre fou les autres hollows qui l’avait ressenti, la brèche fut refermer trop tôt, puis un certaine Aizen fit son apparition.
[ARRANCAR-ESPADA]Une immense réunion eut lieu après l’apparition d’Aizen dans le Hueco Mundo. Des Gilians étaient parvenus à ouvrir une faille grâce à l'aide d'Aizen, soutenu par deux autres capitaines. Ils avaient ainsi pu permettre leurs intégrations dans notre monde.
Un objet, le Hogyokû, un objet légendaire pour nous maintenant, était parmi nous, dans le but de consolider notre armée, dans un le but d'anéantir la Soul Society, le monde des shinigami, nos ennemis depuis trop longtemps. Toutefois, seul l'élite des Hollows pouvait garantir la survie de l'armée. Environ 8 mois après l'arrivée d'Aizen, un immense tournoi fut instauré, afin de sélectionner les meilleurs d'entre nous. Je fus selectionner, à ma grande surprise.
Plusieurs autres Hollows était, du moins semblait plus puissant, mais je réussis quand même à sortir du lot.
Je fus autorisé à toucher l’ Hogyokû et c’est ainsi que je devins une Arrancar.
Je ne me mêlai que rarement aux autres, préférant rester en retrait et observer, analysant les situations diverses, combattant avec arrogance lorsque je jugeait qu'il en était nécessaire.
C’est ainsi que je connu Kurushimeru Gaiden. Un seul regard suffit pour que je ne veille plus jamais qu’il soit hors de mon champ de vision.
Il m’aida à gravir les échelons, à m’entraîner. Il me fit connaître les bonnes personnes et je le soupçonne d’avoir fait pression pour qu’on m’accepte auprès des Espadas.
J’estime cet homme comme jamais je ne pensais pouvoir le faire.
Je lui donnerais ma vie, même si je ne lui montre pas souvent.
Je le suivrais, même si je devais en mourir.
Il possède ma fidélité, il possède mon âme, mon esprit, ma rage et mon être… mais avant tout, cet homme possède mon cœur... chose qu’il ignore et continura d’ignorer.
Nom du Zanpakuto : Namida Meigetsu Forme scellee : Un simple tantō d’un blanc immaculé. Son fourreau est aussi noir que l’ébène. Hikomi le porte contre son dos, sous la ceinture.
Vraie Forme : Le manche devient d’un noir lustrer et des gravures sous un emballage de cuir se font voir. Aucune âme ne sait ce qu’il y a d’inscrit mais Hikomi semble y prêter une très grande attention. La lame change légèrement, à la base elle garde sa couleur blanchâtre, mais le reste de la lame devient gris pale. Elle devient très chaude une fois desceller, c’est pour cela que le tranchant a des couleurs changeante formant des vagues très peu visible.