Rena Takagawa [Vizard]

Nom et prénom : Rena Takagawa

Age : 1235 ans

- 19 ans (humain)
- 467 ans à errer sur terre (âme perdue)
- 749 Vizard

Race : Vizard

Biographie

On dit que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort … peut être que mon histoire vous aidera à croire en ce proverbe. Bon en l’occurrence, je suis morte mais mettons de coté ce petit détail …

Une fin tragique :

Je suis née le 24 janvier 917 dans un petit palais. Il se situait dans une ville du nom de Takayama prêt de Nagoya. Mon père, Ishivashi Tsuneko, était pour ainsi dire la maître de la ville mais dans le bon sens du terme. Il était bon et loyal envers son peuple. Il était aimé et acclamé.

Malheureusement, depuis la fin du VIIIe siècle, le Japon était entré dans l’ère dite de Heian. Le bon coté de cette période était l’apogée culturelle dans le domaine des arts et des lettres. Mais le mauvais coté était la montée des classes guerrières. Leur but était la prise de contrôle du Japon par la force. Ils se battaient de manière incessante pour déterminer lequel d’entre eux était le plus puissant.

L’un d’entre aux, particulièrement féroce, Itoshi Takagawa, avait décidé de prendre le contrôle de la région de Takayama en faisant abdiquer mon père ainsi que tous les autres chefs des villes voisines. Une bataille éclatât alors. Nombreuse d’entre elles furent détruites, les habitants qui refusaient de se soumettre étaient massacrés. Aucune clémence n’était accordée. Si un homme refusait la soumission, lui mais aussi l’ensemble de sa famille, femme, enfants, frères, sœurs, parents, tous étaient exécutés. Mon père décida de combattre Itoshi pour protéger son peuple. Il réunit tous les plus grand combattant de la ville ainsi que les survivants des villes voisine pour une ultime bataille. Ils devaient être un centaine pas plus face à une armée sanguinaire de plus de deux milles ou trois mille hommes. Malgré la volonté de mon père et des combattants l’accompagnant, la bataille ne dura que quelques minutes et se termina dans le palais de mes parents. Cacher dans une chambre du palais avec ma mère Itori, nous n’entendions que les cris des mourants et des lames s’entre choquant dans le palais et puis soudain plus rien. Un silence que très peu de gens ont déjà entendu dans leur vie. Il nous paru durer une éternité. C’est alors que la porte s’ouvrit brusquement et que trois hommes entrèrent. Aucun doute possible, le premier était Itoshi. Il nous regardait avec un incroyable sourire aux lèvres, un sourire si effrayant que ma mère et moi ne puissions ni bouger ni parler. C’est alors que deux autres hommes entrèrent en traînant un troisième. Il s’agissait de mon père. Il était encore vivant mais blesser et incapable de bouger.


Itoshi : Alors voila donc ta fille et ta femme hein ?!
Ishivashi : Laisse les en paix, elles n’ont rien avoir avec ça !
Itoshi : Elles ont tous avoir au contraire. Si tu t’étais soumis comme les autres, elles auraient pu vivre heureuses ainsi que tout les gens de cette ville. Mais tu as voulu me défier en te rebellant contre moi. Leur sors est maintenant scellé.
Ishivashi : Je t’en pris, ne leur fait pas de mal. Je ferai tous ce que m’ordonnera de faire.
Itoshi : Regarde toi, tu es pitoyable. Tu n’as rien n’a m’apporter.
Ishivashi : NON … Je se saurai les voir souffrir à cause de mes erreurs … pitié !
Itoshi : Qu’il en soit ainsi. Tu ne veux pas les voir souffrir ? Très bien. Je vais donc te tuer en premier et c’est ta fille qui souffrira pour toi … ha ha ha ha ha !!!
Ishivashi : NOOOOOOOOO …

Itoshi sorti alors son sabre et le planta dans le cœur de mon père qui s’effondra. Son regard restait fixé sur moi-même une fois sa vie hors de son corps. On dit que croiser le regard d’un mort est un mauvais présage, ce devait s’en doute être vrai. Ma mère s’effondra en de douleur. Une coulée incessante de larme ruisselait sur son visage.
Itoshi se retourna alors vers moi toujours avec son sourire.

Itoshi : Et bien petite, on dirait que c’est toi qui va souffrir à la place de ton père. J’espère que tu seras plus courageuse que lui et que tu profiteras au maximum du spectacle car tu ne vas pas être déçu !!

Je ne pu absolument rien répondre. J’étais totalement pétrifier de terreur et surtout totalement impuissante. Deux hommes nous emmenèrent ma mère et moi au plus profond du palais et nous mirent chacune dans une cellule différente, ces mêmes cellules où était conduis les hors la loi arrêtés par mon père. Pour ma part, j’y suis restée durant plus de deux jours sans manger ni boire mais sur le moment mon esprit n’y avait même pas prêté attention. Il était toujours meurtri par le chagrin. Je n’avais rien pu faire pour aider et sauver mon père et je n’osais même pas imaginer ce qu’il allait advenir de nous.
Un matin, la porte s’ouvrit. Deux hommes entrèrent dans la cellule et mon firent sortir. Ils m’emmenèrent dans le jardin du palais ou une grande partie des guerriers d’Itoshi s’étaient rassemblés. C’est alors que je vis au milieu de cette bande de meurtriers, ma mère ainsi que tous les domestiques du château. Tous ces gens avec ma mère étaient mes amis. Je les connaissait tous depuis ma naissance et avait passé les meilleurs moments de ma vie en leur compagnie. Pourquoi étaient-ils tous regroupés ici ?

Itoshi : Ah !! Enfin te voila. Comme je te l’avais promis tu vas avoir le privilège d’assister à un spectacle grandiose. Alors tu es contente ?

Je n’arrivé pas à répondre. Depuis avoir vu la mort de mon père je n’arrivais plus à parler. Mais pour être tout à fait honnête même si j avais pu répondre je n’aurai su quoi dire.

Itoshi : Hum … tu n’es pas très bavarde je trouve … peut être que cela va te faire parler ou du moins émettre un son !

Sur ces mots, un de ses guerriers saisi une des domestiques et l’approcha de moi à deux ou trois mètres. Là, il dégaina son sabre et l’égorgea sans aucune autre forme de procès. Les larmes se mirent de nouveau à couler sur mon visage. Je ne pouvais détourné mon regard de se spectacle d’horreur devant moi. Aucun son ne pu sortir de ma bouche. J’étais totalement paralysée. Je restait là impuissante fasse à cette barbarie.

Itoshi ordonna à ces hommes de tuer toutes les personnes présentes ainsi que leur femme et leurs enfants. Ils furent tous massacrés devant moi. J’étais … il n’y a pas de mot pour décrire se que je pouvais ressentir. Ma rage était immense de ne pouvoir aider et sauver tous ces gens. Au bout de quelques minutes, il ne restait plus que ma mère le visage déformé par la tristesse et la douleur. Pour elle, Itochi avait réservé un traitement spécial. Elle fut violée, torturée, lacérée, pendant de longue heures avant qu’elle ne finisse par agoniser et finisse par rejoindre mon père.

Itoshi : Alors petite … as-tu apprécié le spectacle que j’ai préparé rien que pour toi ? Maintenant c’est ton tour !

Je fut à mon tour violée, frappée, torturée mais contrairement à ma mère, du haut de mes 19 ans, je ne pu tenir plus de quelques minutes. Mon esprit finit par céder et quitta mon corps meurtrie par toute cette haine, par toute cette barbarie, par ces monstres !

Ainsi termina ma vie sur terre, au bon milieu d’un bain de sang et de souffrance. Très peu de personnes ont du vivre une chose similaire. Comment de braves gens peuvent ils finir ainsi ? Pourquoi y a-t-il tant de haine et de violence dans se monde ? J’aurai tous donnés pour pouvoir sauver mes parents, pour pouvoir sauver tous ses gens qui m’étaient chers, tous ces enfants à l’aube de leur vie qui ont eut pour seul crime d’être les enfants d’un ennemi de leurs parents. Si seulement j’avais pu faire quelque chose … mais je suis restée la impuissante face à cette scène d’horreur comme un papillon pris dans une toile d’araignée, attendant que la mort vienne le chercher.


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Suite en cours de réalisation ... je ferai aussi vite que possible pour poster la suite