Kazuya Hattory [Membre de la Division des Op. Internes]

Nom prénom : Kazuya Hattory

Age : 20 ans

Race : Shinigami

Biographie :
C'est dans un petit village à côté de nagazaki ce soir là, dans un lieu retiré presque secret que je vis le jour.

Lorsque ma mère ferma les yeux sur le monde, la dernière chose qu'elle vit ce fut mes deux grands yeux bien ouverts captant avidement tous les reflets chatoyants autour de nous, puisque que je n'avais encore que la vision des tout petits, celle où il est permit de croire à tout, à la beauté du monde, a la loyauté des autres, à l'amour mérité !

L'air embaumait le jasmin et les cerisiers perdaient leurs pétales roses qui s'envolaient tels de minuscules papillons pour se perdre dans les cheveux des badauds.
La pénombre baignée par le soleil couchant rougeoyait, le paysage lui donnant des airs irréels.
Lui, là dehors, haute silhouette dont les larges épaules ployaient, savait déjà qu'à l'aube tout serait changé...

Il était enfin là, le fils tant espéré, tant attendu mais à quel prix !
La douce et frêle Yoko n’avait pas put résister à la tempête soudaine et violente infligée à ses entrailles par ce petit être volontaire, décidé à se battre pour vivre …même au prix de la vie de sa mère. Les médecins appelés à son chevet pourtant au combien compétents n’avaient pu rien faire, même la magie antique et les prières aux Kamis ainsi qu’aux ancêtres n’avaient pu enrayer la marche fatale du destin de Yoko.

C’est ainsi qu’avec mon premier vagissement s’éteignit la flamme de vie dans les yeux de ma mère.

Ma sœur Miyu regardait sans vraiment comprendre tous ces adultes qui s’affairaient en silence pour hâter la délivrance, elle remarquait l’air grave qui avait subitement envahi le visage paternel et voyait également une chose tout à fait irréelle : les larmes affluaient aux yeux du maître de maison, mais elle ne comprenait pas encore le grand malheur qui venait de les frapper de plein fouet.

N’était-ce pas des mines réjouies et souriantes qui se devaient d’accueillir le mystère de la vie ?

Quand un grand cri déchira la pénombre, elle sut au pincement de son petit cœur qu’un grand malheur venait d’arriver. C’est ainsi qu’elle reçut l’enfant dans ses bras, ce cadeau, cet encombrant paquet entortillé et vagissant. Moi : Kazuya son frère !

L’air était doux, les senteurs d’encens embaumaient l’autel devant lequel était agenouillé mon père. Il priait, ayant allumé les bâtonnets et déposé les offrandes devant les photos de ma mère au doux visage souriant.

Là, sûr la petite butte au loin, un attroupement de villageois qui l’accompagnait dans sa dernière demeure. Devant eux, une gamine qui, le regard farouche, serrait jalousement sûr sa menue poitrine, un nourrisson endormi. Elle resta jusqu’à la fin, sans une larme, sans un mot, jusqu’à ce que la dernière pincée de terre ait recouvert le corps endormi pour l’éternité de leur mère. Alors elle marcha en parlant doucement au bambin qui dormait, elle parla longtemps, sa petite silhouette se détachant en clair-obscur sûr le soleil rougeoyant. Quant elle regagna leur petit pavillon, elle était certaine de lui avoir tout dit, tout appris de ce qu’il devait savoir sur leur mère, pour elle aucun doute, cette créature qui criait devait posséder un pouvoir immense sur la mort pour avoir vaincu si petit cet astre noir, qui, en un instant avait prit sa maman.

Et la vie recommença cependant de façon différente. Son père si attentif autrefois se détournait de sa progéniture, de toute la marche de la maisonnée pour palabrer de longue heure avec un interlocuteur… du saké. Ses repas revenaient intact, même l’heure du thé pourtant très importante au sein de leur foyer lui était à présent tout à fait égale. Il en oublia jusqu’à son intense entraînement, croupissant, ça et là devant son éternel compagnon, qu’il avalait trait sur trait.

Quant à moi je m’abreuvait goulûment de tout ce qui était vie, je n’en finissait pas de vouloir et encore vouloir. Ma sœur me servit de mère, d’exemple, de bouclier aussi face aux innombrables colères monstrueuse que moi seul semblait parfois déclencher chez notre père. Il négligea mon éducation à tel point que c’est un vielle homme qui m’inculqua le premier savoir et les premiers balbutiements de la vie . Miyu compensait par son amour et sa douceur la laideur apocalyptique de notre vie monotone et brutale.

Pendant de longues années, elle subit tout les outrages, tout les affronts, les vicissitudes infligées par cet être hargneux et plein de haine qu’était devenu notre père. Elle porte stoïquement sûr ses frêles épaules la charge de toute la maisonnée. Elle fut le pilier central de mon éducation et forgea mon caractère et ma force avec ses petites mains fragiles mais combien aimante. Elle me sacrifia tout son confort, ses loisirs,

Plus le temps passait et plus le petit bonhomme que j’étais grandissait en force, courage et vitalité, que j’avais d’ailleurs débordante. Miyu dût bien souvent tempérer le caractère ombrageux de ce petit frère indocile, belliqueux et fier… si fier déjà du haut de ses cinq printemps. Elle courbait l’échine sous le joug du tyran que nous avions comme père, combien elle regrettait la douce Yoko notre mère, elle qui savait si bien dompter les colères monstrueuses de Hanzo Hattory, l’homme qu’elle avait épouser et qui avait partager son amour ainsi que son désir d’avoir un fils après la petite Miyu.

Toutes ces années de bonheur paraissait à jamais effacé dans la mémoire du terrible Hanzo, qui n’avait désormais qu’une vue très complexe du véritable devoir d’un père envers ses enfants.

Il se vautrait dans la plus grande concupiscence, infligeant à Miyu et a moi-même, la vue de ses exubérances, ramenant sur sa couche d’innombrables conquêtes qui toujours repartaient ! Sa violence se déchaînait de plus en plus souvent à mon encontre et Miyu savait qu’un jour si elle n’y prenait garde cela finirait très mal, heureusement ou par un coup du sort nous étions le 9 aout et les conduites de gaz explosèrent pour détruire des centaines de milliers de vie innocente

Une fumée acre et des centaines de personnes c'est la chose que je voie encore, on est là devant des moceaux de corps déchiqueter, brulé carboniser et des pleures , puis un bruit une sorte d'hurlement lugubre des bêtes, des gakis était là avec des masques horrible et il broyait toutes les personnes a proximitées de leurs immense bouche qui semblait s'élargir et absorbé les pauvres âmes, j'était là sans bouger me demander encore ce qui se passait, j'avait une chaîne brisée reliant ma poitrine a rien, l'air était lourd je n'arrivait plus a respirer et ma soeur était tétanisée .

Je me rappel juste d'êtrange homme en noir qui nous apposait le fond du katana sur le front et de lumière bleue, une bruit gigentesque se fit entendre derrière moi et quand j'allait me retourné j'était au sol ,

La suite reste floue dans mon esprit de la poudre blanche tombant du ciel et le corps de ma sœur sur moi le froid une chose que je détestais, il fut un temps mais la je la désire la froideur je l'envie donc la poudre tombé sur ma sœur qui resté face contre terre comme si elle écoutait moi je m'avança jusqu’à son visage la peau de ma sœur était bleu et ces lèvres violet !!

Je me mit à hurler la peur le froid et surtout le sang qui coulait de la plaie béante de ma tendre Miyu qui tachait le sol dans des éclaboussure carmin la beauté repoussante du mal.....un homme habillé de sombre se dirigea vers moi puis d'un geste me poussa quand une des bêtes referma sa machoire sur du vide il eut un bref combat entre la chose et l'homme en kimono, il l'avait fait disparaître comme par magie et se releva doucement et se dirigea vers le petit homme de 6 printemps car Kazuya venait d'avoir 6 ans au moment ou le Hollow allait le dévorer ,

Moi je rester la sur le sol a contempler le ciel blanc avec ça poudre douce qui me tombait sur le visage je ne voyait presque plus rien et le froid qui m'envahissait me semblait chaud puis a un moment je ne vit plus rien et me senti soulever c'était un shinigami qui venait de sauver un petit être fragile et faible sur le point de mourir Mamoku, il lui apposa a son tour le fond de son Katana et Kazuya se réveilla dans une rue bondée de monde .

Partie 2 : a Rokungai .

Je me lève doucement et fixe les alentours, des rues encore et encore, sans hésiter je m’agrippe comme a mon habitude au kimono de ma sœur, étrangement elle se dégage et a ma grande surprise ce n’était pas elle affolé je me mit a courir a droite et a gauche hurlant son nom a déchirer mes poumons les larmes coule sur mon visage et pas de réponse, je cour sans m’arrêter bousculant tout le monde je ne prête plus attention a rien je ne suis plus rien sans ma grande sœur et j’ai peur, mon misérable corps tremble et devient de plus en plus lourd, je m’effondre sur le sol et je pleure je hurle, je sens une chose en moi se briser, je n’était pas au courant mais l’innocence de l’enfance et l’insouciance laissait place a une fureur une colère instable et qui allait m’aider a survivre .

Je ne me fit pas adopter, je ne rejoignit pas une famille car dans le secteur 80 la seconde vie est plutôt chaotique je l’apprit a mes dépend et fut bientôt accueillit dans un rassemblement d’enfant comme moi qui n’avait nulle part ou aller et devais survivre a l’enfer du 80, petit a petit j’apprit la témérité le courage et la confiance, de l’enfant impotent se reposant sur sa sœur il ne restait rien de moi j’était le petit bandit des rue qui volait pour survivre et qui se battait pour manger, je n’avait pas le besoin de manger mais j’avait encore le goût sur mes papille, j’avait dix ans a présent et je ne pensait plus a ma sœur ni a mon ancienne vie, je survivait dans un univers ou on ne voulait pas de moi, ou les gens comme moi était inutile et stocker dans des quartiers selon sa chance du district zéro ou les gens avec le plus de chance se retrouvait et avait une vie presque magnifique en refondant des familles, réapprendre un semblant de vie communautaire a leurs âme morte tendis que nous malchanceux dans la grandes roue du hasard on se retrouve dans le dernier district le pire de tous l’enfer de la ville des âmes errantes .

Deux ans après la vie n’avait plus le même goût, mon destin était tracé rester ici et devenir un requin plus méchant que les autres pour survivre et creuser ma place enfin il y avait un autre chemin plus digne et plus intéressant pour tout les ryokas de la ville devenir un shinigami donc prouver et surtout avoir de l’énergie spirituelle, petit à petit je me renseigne sur tout ceci et découvre qu’il faut ce concentrer et expulsé, pour moi ce charabia était digne des grand sages mais mon corps lui ne prit pas en compte mon incompréhension et une boule de la taille d’une petite perle se forma dans ma main, la boule était de couleur verte et disparut extrêmement vite en laissant pour la première fois en six ans une sensation de faim dans mon corps ….

Peux de temps après j'arrive enfin a faire des boules d'énergie plus imposante mais toujours aussi fatigante et j'ai de nouveau le besoin de manger car après mes entraînement j'ai la faim qui me tenaille et je m'affaiblit, j'étais enfin prêt a passer le concours d'entrée dans l'académie spirituelle .

Partie 3 : Académie Spirituelle

J'ai enfin réussit a passer les tests et par miracles je suis apte a intégrer l'école j'ai presque 13 ans et mon envie de devenir quelqu'un est là, je suis galvaniser par une nouvelle sensation l'orgueil j'appris a mes dépend encore une fois que dans la roue de la fortunes j'avais un numéro tellement pourri que je devrais sûrement sortir d'ici la tête basse avec les pires notes que le monde n'aurais jamais connu, je savais me battre c'était une fait mais j'avais perdu la faculté d'écouter et l'humilité et mes premiers combats firent de moi la risée des premières années, le kimono que je portait était rouge, comme le sang, comme la honte que je ressentait au plus profond de moi, les discrimination était fréquente et je commence a me renfermer, a devenir un loup solitaire presque un fantôme dans cette école qui me dégoûte mon orgueil blesser et presque détruit m'empêche d'être objectif et j'oublie que je suis ici pour apprendre .

Les années passèrent et je put a mon tour revêtir les kimono bleu des années supérieurs ma haine c'était éteinte enfin c'était transformée en une envie et une soif d'apprendre de parfaire tout mon apprentissage que je réussit a revenir au niveau de ma classe et a presque frôler du bout des doigts le classement des meilleurs élève sans jamais m'inscrire dans ce palmarès toujours sous eux, la colère qui grondait a mon arrivée ici prenait un parfum amer quand je prenait le temps de penser que je me démenai comme un fou pour atteindre une rêve utopique, devenir un shinigami moi un étranger, partir vivre au Seireitei et intégrer le haut de la société ....

Mes six année passèrent très rapidement et je fut a ma grande surprise retenu pour devenir shinigami, je n'avait rien d'extraordinaire j'étais un élève comme un autre se tenant a niveau en travaillant d'arrache pied, je fut affecté a la division


des Opérations Internes




et c'est là que je rencontra l'être qui me sert d'exemple le capitaine Kuchiki, un être puissant qui ne vivait que pour le combat jugeant un homme sur ce qu'il valait au combat plutôt que sur ses origines, ce jour là je me fit le serment de devenir plus fort qu'elle et que celui qui la battra pour entrer dans les 4 capitaines serais moi ...

Comme toujours ma malchance légendaire m'empêcha de rentrer dans les officiers et je put me targuer de garder sa place en bon perdant, n'abandonnant pas mon rêve de battre mon capitaine un autre songe se révéla a moi, ma soeur en voyant le capitaine une image se superposa a moi une jeune femme douce et gentille tendant les mains vers un enfant pleurant dans un coin ...

je ne parti jamais dans le monde des vivants et la seule fois ou un véritable combat démarra ce fut contre ceux de la division de combat pour du saké, j'était shinigami depuis maintenant trois jours

Caracteres :

Impassible face aux horreurs qu’il peut rencontrer, Kazuya garde un profond regret de ne pas avoir sauvé sa soeur. Il est d’un naturel bagarreur et rancunier essayant toujours d’être le meilleur dans ce qu’il entreprend. Intelligent et vif d’esprit, on ne peut le tromper sans en subir de lourde conséquence. Calme quand il le faut il peut déclencher de forte colère quand on le pousse à bout. Il n’aime pas faire confiance à n’importe qui, quand on acquis sa confiance et son amitié c’est pour la vie mais s’il est trompé il reprend tous et ne vous considérera plus que comme un insecte nuisible, il désire plus que tout revoir sa soeur un rêve utopique qu'il ne réaliseras jamais vu sa condition de shinigami . Son plus grand défauts est qu’il ne veux plus ou ne peux plus extérioriser ces sentiments, il ne recherche pas d’amis et n’en a pas un seul , parfois cruel souvent sadique .

Apparence :

Il mesure 1,70 ses cheveux sont couleur de la nuit, son oeil est d’un brun presque noir. Kazuya possède une musculature d’airains et également une poigne d’acier. Toujours habillait de son long kimono noir ou pend à sa ceinture Shishimaru qui ne le quitte jamais. Ses traits sont assez durs, du moins quand on ne le connaît pas on pourrait penser de lui qu’il n’est pas capable d’exprimer le moindre geste pacifique. Ses mains sont larges et pourtant douce. Sa chevelure n’est jamais attachée flottant au grès des vents. Sa voix est froide est semble toujours agressive. Le ton est ferme est semble insensible. Un kanji orne son épaule droite celui qui représente la chance ou la neige on ne sait pas ( Yuki ) . A son cou et accroché un lien de cuir ou pend un disque de Jade. Son menton arbore toujours une légère barbe mal rasée .

Arme : ( possède son shikai mais pas le bankai )

Nom du Zanpakuto : Raiookamimaru

Forme scellée :

Un katana normal de couleur bleu avec un fil de sois rouge sur la garde .

Forme Shikai :

l'épée change radicalement de forme et devint une lame de bourreau, ( dans le même style que l'épée de Zabuza) la lame est parcourue de créneler faisant penser que la lame est a certains endroit brisée .


Phrase de libération du Shikai :Purifie, Raiookamimaru !

Pouvoir(s) du Shikai :

Il peux électrocuter et créer une léger bouclier ou propulser une vague de foudre son zanpakutô est de l'élément foudre .


Forme Bankai : ne le possède pas

Nom du Bankai idem

Pouvoir(s) du Bankai : inconnu

Bienvenue à toi sur ce forum !!

Amuses toi bien parmis nous !!

oO et bein joli fiche ^^... Mais faudrait penser a arrêter de faire des shinigami... Ordre X rulez gniark gniark gniark.... Qui a dit " Tait-toi la pas belle ? " Grrrrr bon bha bienvenue quand même xD

Bienvenue Shinigami

Marchi a vous tous et j'espère bien m'amuser parmi vous

*Sort son carnet de remarque*

1/ hattory avec une majuscule
2/ on ne confond pas capitaine et commandant, s'il te plait
3/ il est pas interdit (-> recommandé) de mettre la division a laquelle tu appartiens avec le terme "shinigami"

*Ferme son calepin*

Welcome...

50 tours du domaine pour m'avoir obligé à faire ces remarques + 150 autres pour avoir fait un BG aussi long...

Ah et n'oublies pas de signer le réglement de la division (bien que ça ne change pas grand chose... hormis alourdir ta punition par heure de retard)

* se tiens droit comme un I et garde la tête haute avec son bandeau sur la tête inscrit " tu es un âne " il répond d'un air militaire *

Oui Commandante !! Tout de suite Commandante !!

* Se met a courir vers le règlement et le signe rapidement avant de reprendre ses tour de domaine *